FERRARI

Ferrari ne modifie que très peu son look, les phares perdent leur forme en amande pour s’étirer verticalement, en forme de poire. La calandre est moins ovale, les prises d’air sont plus grandes. Le capot est modifié avec l’apparition de deux ouïes. Des ouïes qui se creusent également latéralement. Le grand changement pour cette California 2014, c’est le retour du moteur turbo. C’est la première fois depuis la F40 de 1987 que les italiens incorporent un moteur de ce style. Le bloc est un V8 3.8 litres inauguré par les Maserati Quattroporte et Ghibli. Le turbo augmente donc la puissance, passant de 560 chevaux à 7.500 trs/min contre 490 chevaux à 4.750 trs/min pour l’ancien 4.3 litres V8 atmosphérique.

Le constructeur italien de voitures de sport Ferrari célèbre l’ouverture d’un centre dédié à la personnalisation en Asie pour lancer deux éditions spéciales basées sur la F12 Berlinetta et sur la FF respectivement dénommées « Polo » et « Dressage ». Le centre de personnalisation en question est basé à Shanghai (Chine). Le constructeur italien de voitures de sport Ferrari célèbre l’ouverture d’un centre dédié à la personnalisation en Asie pour lancer deux éditions spéciales basées sur la F12 Berlinetta et sur la FF respectivement dénommées « Polo » et « Dressage ». Le centre de personnalisation en question est basé à Shanghai (Chine). La Ferrari FF Dressage est quant à elle noire, d’un noir dénommé « Black Piano Nero ». L’habitacle reçoit un traitement en cuir spécifique de couleur brun. Des logos « Year of the Horse » (année du cheval) ornent la console centrale et le volant. Le dossier des sièges reçoit un traitement qui renforce le confort.

Le constructeur italien de voitures de sport Ferrari célèbre l’ouverture d’un centre dédié à la personnalisation en Asie pour lancer deux éditions spéciales basées sur la F12 Berlinetta et sur la FF respectivement dénommées « Polo » et « Dressage ». Le centre de personnalisation en question est basé à Shanghai (Chine). La Ferrari F12 Berlinetta Polo est blanche, d’une teinte dénommée « Bianco Italia Opaco ». Elle se pare de deux bandes bleu marine qui parcourent son capot. Cette ambiance est transposée dans l’habitacle. Seulement l’effet est inversé : les sièges sont bleus alors que des parements, des surpiqures et des liserets blancs sont présents.

Initialement, il n’était pas vraiment prévu de produire en série le concept Pininfarina Sergio découvert voilà bientôt deux ans au salon de Genève. La décision de produire cette réalisation un peu spéciale, extrapolée d’une 458 Spider, a finalement été confirmée. Avouons-le, l’esprit de barquette radicale du concept Sergio (un hommage au fils de Gian-Battista, fondateur de la maison Pininfarina) s’est un peu atténué, remplacé par une architecture type targa beaucoup plus conventionnelle. Les proportions de la 458 Spider sont conservées, mais habillés en référence au concept Dino Berlinetta Speciale de 1965. Elle hérite du V8 de la 458 Speciale… donc le 4,5 litres porté à 605 ch. Au niveau de la poupe, l’implantation des deux sorties indique justement la filiation avec la 458 Speciale Aperta. Comme sur toutes les réalisations ultra-exclusives Ferrari, le prix dépend largement de la configuration choisie. La Sergio, finalisée au sein du département de personnalisation Tailor Made de Maranello, oscillerait aux alentours de 3 millions d’euros… Le premier exemplaire prendra place à la SBH Royal Auto Gallery, collection privée appartenant à la famille royale des Emirats Arabes unis.

La nouvelle série spéciale en édition limitée 458 Speciale A (A comme dans Aperta) est un hommage au succès des diverses versions de la 458, un modèle qui a reçu de nombreuses récompenses de la part des médias automobiles internationaux et remporté de nombreuses victoires dans des courses automobiles, notamment un double titre en WEC et des victoires dans sa catégorie dans des courses classiques, telles que les 24 heures du Mans, les 24 heures de Daytona et les 12 heures de Sebring. Visuellement, la Speciale était déjà particulièrement extravertie en carrosserie fermée avec ses ouïes et sa panoplie aérodynamique active, sur une robe rouge à bande centrale bleue et blanche. La Speciale Aperta reprend cette dernière mais l’applique sur une livrée jaune parsemée de bleu, jusqu’au carbone qui garnit l’habitacle.

Alors que tout le monde ne parle que de réductions des consommations et des émissions de CO2, les constructeurs de sportives semblent n’avoir jamais été aussi agressifs. Preuve en est cette nouvelle Ferrari 488 GTB, dont on pourrait croire au premier abord qu’il s’agit d’une simple mise à jour de la 458 Italia. Pourtant, à la vue de la fiche technique, on peut sentir clairement une volonté de la part des Italiens de rester à tout prix au sommet de la catégorie. Avec l’adoption d’un nouveau V8 3.9 biturbo en lieu et place du V8 4.5 atmosphérique, la berlinette gagne en effet 100 ch d’un coup et passe de 570 à 670 ch. Les performances annoncées sont alors d’un niveau réservé il y a encore peu aux supercars les plus affûtées, avec un 0 à 100 km/h avalé en 3 s et un 0 à 200 km/h en 8,3 s. Cette nouvelle Ferrari aurait même pu dominer la catégorie, si le rival McLaren n’avait pas présenté une ultime évolution de sa 12C, encore plus performante, avec la 675 LT (675 ch et 7,9 s pour le 0 à 200). On imagine malgré tout que la firme au cavallino ne se privera pas de sortir une 488 Speciale plus extrême d’ici un an ou deux… Question charisme, il est en revanche difficile de départager les championnes de Modène et Woking, tant elles rivalisent toutes deux en terme de sportivité suggérée. A ce sujet, la 488 GTB se dote de nouveaux boucliers ainsi que de prises d’air modifiées par rapport à sa devancière, la rendant sous certains angles encore plus agressive.

Il y a peu de chance de voir la Ferrari F60 America sur nos routes. Tout d’abord parce qu’elle n’existera qu’en 10 exemplaires. Ensuite parce qu’elle est réservée au marché américain. Ce modèle spécial, construit sur base de la F12 Berlinetta, a reçu la livrée de la « North American Racing Team ». Il célèbre ainsi les 60 ans de la marque au cheval cabré sur le sol américain. D’ailleurs, la F60 America a été imaginée en fonction des goûts du public états-unien : V12 et découverte. De fait, avec son configuration targa, elle n’a pas vraiment de toit. Un panneau léger peut recouvrir les deux passagers. Mais alors, il vaut mieux ne pas dépasser les 120 km/h ! Pourtant, sous le capot se trouve un V12 de 740 ch.

C’est en hommage à la victoire au Tour de France en 1964, que le garage Francorchamps Motors Brussels a commandé une F12 unique à la maison-mère. En 1964, l’équipage Lucien Bianchi-Georges Berger remportait l’édition du Tour de France au volant d’une 250 GTO de couleur grise. Une couleur reprise par cette F12 unique et qui le rehausse d’une bande jaune (la couleur nationale) barrant le capot. Si l’intérieur se voit recouvert d’un cuir « Soul Leather » aussi parfait que rare et que… cher, l’importateur précise qu’il peut être remplacé par un tissu bleu rappelant les baquets de la 250 GTO de Bianchi. D’autres matériaux exotiques sont utilisés pour l’habitacle, à l’instar du « SuperFabric », un tissu ultra résistant et abrasif qui a déjà fait ses preuves dans le domaine militaire. Citons également le Mycro Prestige SP 07 FR, utilisé sur les côtés et le pavillon haut, est quant à lui un matériel de haute technologie spécifiquement construit pour Ferrari et particulièrement léger.